Blogue

Catégorie : Société

Jour 23 : Paintball pré-débat

Par Caroline Roy  |  27 mars 2014

Une autre journée qui ne marquera pas l’histoire politique du Québec. Après la lutte dans la boue, les partis ont profité des heures précédant le deuxième débat pour s’attaquer à qui-mieux-mieux, comme dans une activité de paintball ! Tirs croisés sur Philippe Couillard de la part du PQ et de la CAQ à propos du […]


Jour 21 : Couillard plante des épines aux pieds…

Par Caroline Roy  |  25 mars 2014

Après la boue lancée ces derniers jours, les mots étaient plus élégants aujourd’hui. Mais pas moins directs ! Porté par le sondage Léger, le chef du PLQ est passé à l’offensive en déclarant qu’il rendrait public d’ici le débat de jeudi, ses avoirs personnels et ceux de sa conjointe. Pauline Marois a refusé. François Legault […]


Jours 18 et 19 : Le poids et le contresens des messages

Par Caroline Roy  |  23 mars 2014

Ces derniers jours et cette fin de semaine en particulier, plusieurs situations ont démontré à quel point le choix des mots est important durant une campagne électorale. Philippe Couillard est celui qui fait campagne avec un minimum de mots, répétant à toutes les deux phrases qu’il est contre un éventuel référendum. C’est une « cassette » qui a […]


Jour 10 : Quand La Pinière fait jaser…

Par Caroline Roy  |  14 mars 2014

Le comté de La Pinière n’aura jamais été autant médiatisé ! C’est la décision du PQ de ne pas présenter de candidat afin de favoriser l’ex-députée libérale Fatima Houda-Pepin qui a été le sujet #1 de cette 10e journée de campagne.  Le PQ gagne la journée, mais Québec Solidaire a réussi à tirer son épingle du […]


Jours 4 et 5 : Devinez qui gagne ?

Par Caroline Roy  |  9 mars 2014

Après s’être imposée samedi lors de son conseil national, Pauline Marois a provoqué un coup de tonnerre tôt dimanche matin en recrutant la personnalité la plus connue du monde des affaires : Pierre Karl Péladeau. C’est Françoise David qui a été la plus mordante, affirmant qu’elle refuserait une banquette voisine de ce patron qu’elle déteste. […]